• Little Something

    Extrait du livre : « Little Something »  le petit sentiment de rien du tout qui voulait devenir un grand amour qui ne finit jamais. »

    De François Garagnon

     

    Résumé : Little Something est un authentique élan d’amour. Contrairement à ceux de son espèce qui cherche leur accomplissement dans l’instant, lui ressent un appel qui le destine à associer l’intensité et la durée et à convertir les rapports de force en liens d’alliance. Alors qu’il n’est encore qu’un sentiment de rien du tout, il rêve de devenir une grande histoire d’amour. Et il y pressent que pour y parvenir, il lui faut  nécessairement se transformer.

    Sous des allures de conte métaphorique, ce récit vibrant et enchanteur constitue un véritable traité de souveraineté intérieure, qui explore en des termes d’une exquise délicatesse et d’une rare poésie, les fondamentaux de l’amour durable et du bonheur qui n’a pas de fin.

     

    « Il était pourtant issu d’une très noble lignée. C’était un authentique Élan d’Amour. Lorsqu’il surgissait quelque part, il lui arrivait de susciter quelques mouvements de méfiance, ou des émois incontrôlables mais le plus souvent il était accueilli avec une vitalité joyeuse et dans la bienheureuse impatience de vivre. »

    « Il rêvait donc de devenir un grand Amour durable, véritablement unique et irremplaçable, ce qui, pour les autres élans d’amour, constituait une assez bizarre pensée, eux qui n’aimaient rien tant que renouveler des expériences le plus souvent possible. Little Something n’avait pas la moindre idée de la manière dont il fallait s’y prendre, pour atteindre son grand but, mais il croyait aux miracles. »

    « Il décida donc, de s’aventurer dans les mondes intérieurs, au lieu-dit Cœur des Hommes, qui était un endroit curieux parce que les gens habitent généralement en périphérie d’eux-mêmes, et rarement en plein centre. »

    «  Le Grand rêve parle : Les hommes rêvent beaucoup, bien sûr, mais pour eux, le rêve et la réalité ne sont pas faits pour vivre ensemble. Par conséquent, je ne vivrai jamais avec la réalité, alors que c’est mon idéal de toujours, comprends-tu ? Donc ma vie ne sert à rien, je ressemble à une idée folle, à l’une de ces compensations que les hommes s’inventent quand la vie leur est trop difficile. C’est tout. »

     

    « Il te faut sans cesse exercer ton regard à discerner l'essentiel. Et l'essentiel contrarie parfois bien des évidences. Ainsi, on pense que la réalité est telle qu'elle est ; alors qu'en fait, elle est telle qu'on la perçoit. Notre vie n'est pas modelée par ce qui nous arrive, mais par ce que nous faisons avec ce qui nous arrive. Par exemple, l'échec n'est rien en lui-même ; tout dépend de la manière dont nous le convertissons, dans l'alchimie de nos cœurs : en potion survitaminée ou en poison mortel. L'échec peut être une chute fatale pour certains et un formidable tremplin pour d'autres. Notre regard transfigure toutes choses en forme dégradée ou en forme sublimée. Il faudrait apprendre à délocaliser notre esprit. À ne pas être conditionné outre-mesure par un contexte précis. Ouvrir son esprit sur quelque chose d’illimité. »

    « C’est ce que tu es, Grand rêve perdu : un sommet vertigineux et magnifique ! Simplement, pour te rejoindre, il faut du courage, de l’audace et de la persévérance. Tu en vaux la peine, crois-moi, mais cela demande du temps, parfois beaucoup de temps. Par conséquent, il faut y croire, beaucoup y croire. »

    « Je me demande si le grand mystère de la vie, ce n’est pas cela : aller à la rencontre  des évènements et des êtres qui nous ressemblent. Il me semble que l’on éprouve une soif de cœur, on rencontre toujours des frères sur le chemin pour nous restaurer en cours de route. (Little Something)

     

    « L’amour est vraiment fou quand il nourrit des certitudes sans preuve, quand il se projette dans l'avenir comme une cascade se projette dans le vide, non pas dans un élan inconscient mais dans une surabondance d'amour ! Oui, l'amour est vraiment fou quand il cherche à associer l'intensité et la durée, le frémissement de la seconde à la grande palpitation de l'éternité. Lorsque comme toi, Little Something, il mise sur une toute petite graine, un petit sentiment de rien du tout, pour faire jaillir toutes les floraisons de l’avenir ! »

     

    « Il venait de saisir que la constance de petites bonnes actions de tous les jours vaut mieux que la grande action d'un jour. En quelque sorte : l'héroïsme de la fidélité au quotidien ! La vie intérieure lui avait souvent paru plus palpitante que les agitations extérieures. C'est pourquoi, il avait toujours éprouvé de secrètes affinités avec les contemplatifs. Il voulait accéder à cette noblesse de cœur, à cette maîtrise de soi, à cet accomplissement-là. Il venait de comprendre que ce que nous pouvons faire est beaucoup plus important que ce que nous ne pouvons pas faire. Il se montrait plus que jamais résolu à devenir une grande histoire d'amour qui n'en finit pas. »

     

    « Les rencontres sont toujours des miracles. C'est-à-dire ce genre de circonstances capable de bouleverser un destin en un soupir, entre deux clignements d’yeux, dans le trébuchement d’un regard qui fait que, badaboum, on tombe amoureux. Même les rencontres apparemment futiles ou désagréables contiennent de savantes leçons de vie. On l’oublie trop souvent : même si toute rencontre n’est pas une histoire d’amour, tout, dans la vie, est rencontre.

    Comme  tout élan d’amour qui se respecte, Little Something accordait une importance capitale aux rencontres ; il avait naturellement entendu parler des âmes sœurs, vous savez : ces personnes qui ont les plus infimes chances de se rencontrer alors qu’elles sont faites l’une pour l’autre. Il savait que la principale vocation des élans d’amour est de se mettre de mèche avec une flamme pour créer un courant d’étincelles. »

     

    « Si tu penses très fort à un être qui est loin, si tu lui envoies quelque chose qui ressemble à une prière, ton message ne lui parviendra peut-être pas exactement, mais ton mouvement de cœur, si. C’est le destin d’un sourire de connivence de changer la qualité de la lumière et de faire que ce qui est très loin apparaît soudain très proche. »

    « Les hommes entretiennent avec le temps une relation complexe et tourmentée. La raison principale en est qu’ils ne savent jamais sur le moment si ce qu’ils sont en train de vivre a de l’importance ou non. Et puis, ils subissent tous plus ou moins la morsure d’un terrible serpent qui instille son venin dans leur esprit et dans leur cœur.  En réalité, les hommes passent le plus clair de leur temps à s’empoissonner l’existence ! Le poison mortel dont je parle fait mourir en germe leurs plus belles chances  d’accomplissement ! Ce venin s’appelle l’impatience …. La vie obéit à des lois de lenteur et de  continuité, de rythmes, de maturations et de saisons successives. Il suffit de voir la nature pour comprendre. La nature obéit aux lois de la nature. Mais l’homme ne veut pas obéir aux lois de sa nature. Il refuse d’attendre, il désire tout, tout de suite. D’où sa déconvenue, spécialement dans le domaine de l’amour qui exige tant de délicatesse, de patience, et le respect de si lentes éclosions ! »

    « Les hommes passent leur temps à jouer à cache-cache avec les idées ! Je veux dire qu'ils font semblant de ne pas savoir ce qu'ils savent déjà. Ou bien, ils se détournent de claires évidences. Ils savent ce qui est bon pour eux, mais ils s'empressent bien de ne pas le faire ! En réalité, le monde est sempiternellement parcouru de frémissements d'idées. Et c'est ce qui rend la vie si palpitante ! On est des idées en l'air, et on n'existe vraiment que lorsque l'on capte l'attention de quelqu'un et que l'on atterrit dans une conscience en éveil ! Notre métier, c'est d'inspirer l'esprit des hommes. Après, ils en font ce qu'ils veulent : des rêves, des projets, des inventions, des textes de lois ou des poèmes, des révolutions ou des histoires d’amour. »

     

    « Les idées, ça plane au-dessus de tout le monde, dans le monde entier. Et l'amour aussi. Le problème, c'est que les gens ne s'attardent pas et passent en dessous sans s'en  apercevoir.  Comme  s'ils  voulaient passer inaperçus et ne surtout pas avoir d’histoire. »

    « Il te faut apprendre à me retrouver, moi ton ami le Sourire, quand ma présence ne te paraît absolument pas en rapport avec ce que tu vis. Il faut que ma présence te devienne familière et naturelle et que tu ne me renies jamais, même durant les jours de peine. »

     

    « Il rencontra un Regard, à la fois séduisant, un rien insistant et terriblement troublant. Ca doit être cela, l’amour, se dit-il. L’amour, c’est le regard qui est le miroir de l’âme. C’est l’attention qui crée la tension intérieure, c’est la caresse qui se produit sans toucher, la communication qui se produit sans parole, la saveur qui se goûte par le bout des cils. Tout l’infini du ciel par la lucarne des yeux. »

     

    « Il rencontra une main ouverte  qui l’intrigua beaucoup, et il se rendit compte de ceci : quand une main se ferme, elle forme un poing et exprime le repli sur soi, la haine, la violence la révolte. Quand une main s'ouvre, elle traduit tout le contraire : le salut amical, le geste qui relie ou console, la caresse qui apaise ou attendrit. Surtout, elle est le premier et plus beau moment de l'amour quand une main serre une autre main, alors on sent que par ce lien, quelque chose passe d'un être à l'autre comme un courant électrique. À ce moment précis, la lumière se fait chez l’un et chez l’autre : ils s’illuminent mutuellement, la vie de l’un devient lumineuse grâce à l’éclairage de l’autre. »

     

    « A la faveur de ces rencontres, il s’était aperçu que les signes de l’invisible sont parfois plus édifiants et décisifs que les réalités clairement manifestées. »

     

    « N’oublie pas le cadencement des jours et ses rituels précieux, la juste mesure entre le ni trop peu, et la recherche de l’ultime harmonie, c'est-à-dire le lien d’alliance avec tout ce qui t’entoure. Alors, tu seras comme un printemps chargé de sève, tu deviendras un Little Something en fleurs, et ta vie donnera beaucoup de fruits. »

     

    « Il faut parfois mourir à soi-même pour faire apparaître l’homme nouveau. Je veux dire l’homme régénéré, purifié, délivré de ses démons, et auquel est promise la vraie vie. Avec ses rudesses, ses exigences permanentes, mais aussi ses inoubliables joies ! »

     

    « Le véritable amour repose sur un élan bien différent de « Avoir des relations », cela consiste à « Etre en relation »

    Chercher à avoir, c’est vouloir s’emparer, accaparer, entrer non  pas en relation mais en possession. C’est être soi-même possédé par des inclinations furtives, se laisser aller au courant de ses émotions passagères plutôt que de remonter résolument  à la source pure de son être profond.

    Chercher à être, voilà qui est bien différent. Cela consiste à laisser agir en soi, et au lieu de se perdre, à se laisser gagner par les forces supérieures de l’Esprit. »

     

    «Le temps est un grand sculpteur. Il révèle la forme définitive des relations et des évènements. Certains retombent en poussière, d’autres deviennent des œuvres d’arts. Cela dépend aussi de notre talent. »

     

    « Nul ne devrait être en droit de déranger l'être aimé pour l'accabler de ses soucis, pour le faire entrer dans la valse sans fin des récriminations, des culpabilité et des culpabilisations successives. On ne devrait partir à l'assaut de l'être aimé que pour le fatiguer d'espérance ;  inapaisée, le harceler de projets et de rêves ! Qui ne lui laissent pas l'âme en repos, le gorger de bonheurs inattendus, d'enthousiasme inopiné, du soleil radieux des fous rires et de l'amour fou ! Le cœur battant la chamade, au point de créer sans fin des rêves de jour et des insomnies de joie. »

     

    « Tu me demandais à l'instant à quoi on reconnaît le véritable amour : eh bien, c'est peut-être quand la présence de l'autre emplit tout le ciel de notre regard, et que l'on ne voit plus que lui. Au point de percevoir le monde par le prisme de ses yeux. Et de prendre soudain conscience à quel point sa présence est pour nous d'une folle valeur, d’une valeur proprement inestimable ! C’est ainsi que certaines personnes sont si chères à notre cœur qu'elles en deviennent hors de prix ! »

     

    « Aimer c’est vouloir que le bien coule de source. Comme une source pure. » 

    « L’amour est toujours un grand large qui nous permet de quitter le port de nos étroitesses. »

    « La plénitude naît à l’ instant où l’œil et l’âme s’accorde à percevoir la même chose »

    « Ce qui rend les choses, les gens et les paysages exceptionnelles et inoubliables, c’est le regard d’attention contemplative que l’on pose sur eux. »

    « Le regard c’est la conscience, c’est le pouvoir de contempler, c’est la faculté d’aimer : Il faudrait les ramener à la faveur originelle ! qui est l’enthousiasme, l’étonnement et l’élan des premières fois. C’est l’enfance spirituelle. »

    « Réinvente sans cesse ta vie, tes relations. Sois fidèle, mais ne t’habitue jamais ! Il faut faire en sorte que chaque jour s’ouvre sur de nouveaux émerveillements. Le grand art c’est de fabriquer de l’extraordinaire avec de l’ordinaire. »

     

    « On ne connait bien que ce que l’on expérimente vraiment. Les plus belles vérités du monde, si elles ne sont pas incarnées, restent lettres mortes. »

     

    PARDON : Geste de pardon … Parce qu’il y a toujours des choses à restaurer dans une relation.

    MERCI : mouvement de gratitude  et toujours des bénédictions à recevoir.

    JE T’AIME : élan d’amour, et beaucoup d’amour à donner. Toujours plus qu’on ne croit. »

     

    « Oui Little Something, tu es le je-ne-sais-quoi qui parfume l’atmosphère, le petit quelque chose en plus qui fait que la vie pétille et que l'on tient à elle quoi qu'il advienne. Et sous ton influence, sur ton invitation à rafraîchir notre regard sur les choses essentielles de l'existence, on sent que rien ne sera jamais plus comme avant. En rassemblant tous les petits riens que les hommes, généralement, piétinent sans s'en rendre compte et que tu recueilles humblement, inlassablement, indéfiniment, dont tu prends soin, que tu cherches à faire ! S’épanouir et prospérer... oui, en faisant la somme de tous ces petits riens, on aboutit au grand Tout. »

    « Ce qui a de l'importance est insaisissable, on ne peut ni le retenir, ni le contraindre, ni renfermer. Ce qui est beau s’avère fragile et entremêle de l’immortel à l’éphémère, de l'éternité à l'instant. Ce qui est grand se fait petit et humble : le vrai maître, c’est le serviteur ! Tout cela, tu l’avais compris avant même de le savoir. Le but de ton voyage était déjà en toi avant même que tu te mettes en marche. »

    « Il n’y a rien de plus habité qu’une solitude choisie, quand on délivre sa disponibilité intérieure en abolissant toute frontière. Dans cette solitude-là, à cette profondeur de méditation, ce n’est pas l’abîme que l’on côtoie, mais le puits de lumière : on devient un frère universel. 

    De même il n’y a rien de plus bavard que le silence, et les mots qui te sont soufflés dans ces moments de grande paix intérieure viennent tout droit de l’essentiel ; ils sont limpides comme la source à son origine, non encore polluée par les bavardages, les quiproquos et les futilités du monde.

     

    « Souviens-toi que la meilleur façon de faire refluer le mal, ce n’est pas de le combattre de manière frontale mais bien plutôt de faire surabonder le bien. Alors notre paysage intérieur devient pur, lumineux, dégagé de toutes les brumes du pessimisme et de l’égarement. Comme par enchantement. »

    « Il faut se garder de toujours jeter un œil en arrière ou de s’attarder aux contrariétés d’un moment. Et plutôt voir ce qui reste à vivre ! Avoir de la considération pour les belles et bonnes choses qui nous sont réservées, qui n’attendent que notre amoureuse attention pour être révélées. »

    « Bonjour, je suis le grand silence.

    Je croyais que le silence ne parlait pas !

    Ça de m’empêche pas de m’exprimer dans le secret de ton cœur ! L’Esprit souffle où il veut : y compris dans les recoins les plus inattendus…

    Tu te souviens que le silence est très bavard lorsque le cœur est grand ouvert. Il n’est douloureux que pour les esprits fermés. »

     

    « Les gens parlent tous de la paix mais n’arrête pas de se faire la guerre. J’ai l’impression que dans ce monde, tout conspire à séparer ce qui est uni. »

     

    « Écoute-moi bien. Aucun élan d'amour n'a existé en vain. Même les plus petits, même les plus éphémères, même ceux que l'on est tenté de qualifier de ridicules, tous m'entends-tu ? laissent une trace dans la vie des hommes. En vérité, les élans d'amour ne meurent jamais. Ils rejoignent la musique des sphères, et si la vie est symphonique, s'il se produit, venus d'en-haut, d'inlassables et chantantes pluies de lumière, des instants de grâce et des sourires très denses de la Providence, c'est grâce à eux. Les élans d'amour sauvent ce qui peut être sauvé, passent le baume de la beauté sur les médiocrités et, contre toute attente, magnifient l'ordinaire des jours dans des proportions démesurées, même chez les égarés, même chez les êtres en perdition. Les élans d'amour sont des fragments d'éternité venus du grand Tout, du grand Amour en version originelle qui continue de régner sur le monde et de lui donner un sens. »

     

    « Nous sommes tous uniques et à la foi nous sommes tous appelés à être reliés. Les relations humaines sont ce qui donne sens à notre vie. Tu as compris au cours de ta quête : tout, dans la vie, est rencontre. C'est une grande chance, mais c'est aussi une grande difficulté. La plupart des êtres sur cette terre abordent les relations humaines comme des rapports de force le grand but est de transformer ces rapports de force en liens d'alliance. Repenser la relation, c'est l'envisager non pas comme une confrontation, mais comme une coopération. Et dans les situations où ce n'est pas facile, se dire que la source de la plupart de nos difficultés, c'est que nous avons énormément de mal à nous remettre en cause nous-mêmes. Il faut vraiment tout faire pour expulser les sentiments d'opposition, de justification, de culpabilisation, afin de se sentir ensemble, unis, dans la douceur d'une inaltérable paix. Alors, alors seulement, la vie peut devenir une grande histoire d'amour et de fraternité. »

     

    « Les hommes de ce temps se croient libres, alors qu’en fait, ils sont enfermés à l’extérieur d’eux-mêmes. Exilés volontaires. Ce faisant, ils désertent le seul lieu capable de les rendre heureux : leur monde intérieur. Sais-tu que nous avons tous une Maison intérieure ? Bien peu la connaissent parce qu’ils ont égaré la clé, qui leur permet d’accéder à leur véritable chez soi, l’endroit où peut s’exercer leur souveraineté intérieure. A ce qui les rend véritablement uniques au monde, irremplaçable. Alors, à force, ils ressemblent de plus en plus au monde et de moins en moins à eux-mêmes. »

     

    Je conseil de lire ce très beau livre, une belle histoire qui nous fait découvrir, ce qu’il y a au plus profond de nous, que le bonheur est au fond de notre cœur.  Pas la peine d’aller le chercher à l’autre bout du monde. »

     

     

     


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