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Par renal le 27 Septembre 2007 à 21:40
Toi qui...
Toi qui ne me vois pas,
je suis là.Toi qui a du mépris pour moi,
je suis semblable à toi.Toi qui me considère inférieur,
connais-tu mon coeur ?Toi qui pense que l'apparence extérieure est le reflet de l'âme,
tu te trompes car souvent l'infâme agit en faussaire, avec grande douceur.Toi qui me crois stupide, inhabile parce que je parle peu, par pudeur
sache qu'il vaut mieux rester muet et paraître imbécile
que de parler et de prouver que l'on est imbécile et bêcheur !
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Par renal le 27 Septembre 2007 à 10:54
L'amour change tout
Le devoir sans amour nous rend acharné
La responsabilité sans amour nous rend impitoyable
La justice sans amour nous rend dur
La vérité sans amour nous rend critique
L'intelligence sans amour nous rend rusé
La gentillesse sans amour nous rend hypocrite
L'ordre sans amour donne un esprit étroit
L'honneur sans amour nous rend orgueilleux
La possession sans amour nous rend avare
La foi sans amour nous rend fanatique
La vie sans amour est sans valeurAnonyme
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Par renal le 27 Septembre 2007 à 10:53
Il est temps
Il est temps de faire la paix.
Autour de soi et sans délai.
Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur,
Ils sont au seuil de votre coeur.J'écoute quelquefois le soir
Des nouvelles à la télévision.
On y voit haine et désespoir,
Détruire notre monde sans raison.On nous annonce au fil des jours
Que femmes et enfants sont agressés
Et qu'aussi certains vautours,
Vont jusqu’à tuer pour dominerOn a beau se parler d'amour,
De partager son amitié.
Qu'aussitôt dans le détour,
La rose sort ses épines acérées.Pourquoi sommes-nous si violents ?
Pourquoi sommes-nous insouciants ?
Pourquoi sommes-nous si impatients ?
Pourquoi sommes-nous intolérants ?Il est temps de faire la paix.
Autour de soi et sans délai.
Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur,
Ils sont au seuil de votre coeur.Roger Kemp
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Par renal le 27 Septembre 2007 à 10:52
Mon fardeau
Je n'arrive pas à trouver de place en ce bas monde
Le fardeau que je traîne est bien encombrant
j'ai trop mal à mes cicatrices, elles sont vraiment trop profondes
je me demande pourquoi ci, pourquoi ça, c'est comment ?Pourquoi moi et pas les autres, pourquoi les autres et pas moi
J'ai du mal à m'accepter alors je me révolte, verve furibonde
un mot contrariant et j'agresse sans réfléchir, quel désarroi
je ne sais que faire, je n'aime pas ma vie, elle est nauséabondePourquoi toujours chercher à plaire pour pouvoir exister
Pourquoi ne pas croire que l'on peut m'aimer sans conditions
J'ai beau dire que je m'en fous de ce que les autres peuvent penser
En vérité j'attends toujours en secret des approbationsSi je prends quelques instants de réflexion
je m'aperçois que la vie est comme un lycée technique
seule différence, on a la pratique suivie d'une leçon
au lieu d'une leçon suivie d'une pratiqueSi je prends encore quelques instants pour réfléchir
je me rends compte que nous sommes tous égaux
seulement nous portons un masque pour ne pas trahir
l'être fragile que nous sommes et qui croit que l'autre est costaudAvec mes pourquoi et comment, je réfléchis davantage
Et me dit que nul n'a son BEP, apprentis nous sommes encore
que je devrais être indulgent avec mon voisin, s'il n'est pas un sage
que l'on peut tomber puis se relever, c'est notre leçon de sportC'est pas carnaval, laissons tomber nos déguisements
soyons nous mêmes, arrêtons les faux-semblants
commençons par dire que l'on s'aime, que l'on s'aime vraiment
que nous méritons l'amour que nous avons gagné en naissantMarie M.@(*_-)@ --- > pour LAURA
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Par renal le 27 Septembre 2007 à 10:48
Être et non paraître
Être et non Paraître...
savoir rester humble face à l'immensité de l'univers
que l'on est infiniment petits il faut le reconnaître
qu'il y a toujours plus grand que nous sur cette terreAux riches bien vêtus on fait des courbettes
Aux pauvres en haillons on fait des grimaces
peut-être que l'âme du pauvre est bien plus honnête
que celle de ce seigneur de la haute classeL'habit ne fait pas le moine, dit l'adage
on ferait bien d'y prendre de la graine
Ce n'est pas le plus beau qui est le plus sage
la vraie grandeur est dans l'âme humaine
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Par renal le 26 Septembre 2007 à 16:52
Si la note disait:
"Ce n'est pas une note qui fait une musique" ...
il n'y aurait pas de symphonie !
Si le mot disait:
"Ce n'est pas un mot qui peut faire une page" ...
il n'y aurait pas de livre !
Si la pierre disait:
"Ce n'est pas une pierre qui peut monter un mur" ...
il n'y aurait pas de maison !
Si la goutte d'eau disait:
"Ce n'est pas une goutte d'eau qui peut faire une rivière" ...
il n'y aurait pas d'océan !
Si le grain de blé disait:
"Ce n'est pas un grain de blé qui peut ensemencer un champ" ...
il n'y aurait pas de moisson !
Si l' homme disait:
"Ce n'est pas un geste d'amour qui peut sauver l'humanité" ...
il n'y aurait jamais de justice et de paix, de dignité et de bonheur
sur la terre des hommes !
Comme la symphonie a besoin de chaque note,
Comme le livre a besoin de chaque mot,
Comme la maison a besoin de chaque pierre,
Comme l'océan a besoin de chaque goutte d'eau,
Comme la moisson a besoin de chaque grain de blé,
L'humanité toute entière a besoin de TOI,
Là où tu es, UNIQUE(Michel Quoist 1921 - 1996)
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Par renal le 22 Juillet 2007 à 21:47
Vivre
Je suis mort
Parce que
je n’ai pas de désir.
Je n'ai pas de désir
parce que
je crois posséder.
Je crois posséder
parce que
je n'essaie pas de donner.
Essayant de donner,
on voit qu'on a rien.
Voyant qu'on a rien,
on essaie de se donner.
Essayant de se donner,
on voit qu'on est rien.
Voyant qu'on est rien,
on désire devenir.
Désirant devenir, on vit.
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Par renal le 22 Juillet 2007 à 11:32
Une vie remplie
La terre d'argile
Est employée pour tourner, pour façonner le vase,
Mais c'est de son vide que dépend son usage.
Des murs élevés et cimentés, un toit
Ont fait la maison, la chambre,
Mais c'est leur vide qui permet de les habiter.
La fenêtre est forte et solide
Pour empêcher le froid d'entrer,
Mais c'est le vide du verre
Qui permet à la lumière d'éclairer.
Des bois fins, secs et choisis
Ont participé à la construction du violon, du violoncelle
Mais c'est leur vide qui permet à la musique
De résonner, de s'envoler
Entre soupirs, pauses et silences.
Cherche au fond de toi
Les espaces de vide,
Les espaces de silence,
Les espaces d'envie
Qui te permettront de remplir ta vie.
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Par renal le 22 Juillet 2007 à 11:29
La jeunesse
La jeunesse n'est pas une période de la vie,
Elle est un état d'esprit,
Un effet de la volonté,
Une qualité de l'imagination,
Une intensité émotive,
Une victoire du courage sur la timidité,
Du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
On ne devient pas vieux
Pour avoir vécu un certain nombre d'années.
On devient vieux
Parce qu'on a déserte son idéal.
Les années rident la peau,
Renoncer à son idéal ride l'âme.
Les préoccupations, les doutes,
Les craintes et les désespoirs
Sont les ennemis qui, lentement,
Nous font pencher vers la terre
Et devenir poussière avant la mort.
Jeune est celui qui s'étonne et s'émerveille.
Il demande, comme l’enfant insatiable : et après ?
Il défie les événements
Et trouve de la joie au jeu de la vie.
Vous êtes aussi jeune que votre foi.
Vous êtes aussi vieux que votre doute.
Aussi jeune que votre confiance en vous-même.
Aussi vieux que votre abattement,
Vous resterez jeune
Tant que vous resterez réceptif aux messages
De la nature,
De lhomme.
Et de l’infini.
Un jour,
Votre coeur allait être mordu
Par le pessimisme
Et rongé par le cynisme puisse Dieu avoir pitié
De votre âme de vieillard.
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Par renal le 22 Juillet 2007 à 11:27
Depuis que je t’ai rencontré
Écoute, mon Dieu!
Ils m'ont dit que tu n'existais pas
et comme un sot. je l'ai cru.
L'autre soir, du fond d'un trou d'obus, j'ai vu ton ciel...
Du même coup, j'ai vu qu'ils m'avaient dit un mensonge.
Si j'avais pris le temps de regarder
les choses que tu as faites,
j'aurais bien vu que ces gens
refusaient d'appeler un chat un chat.
Je me demande, Dieu, si tu consentirais
A me serrer la main...
Et pourtant, je sens que tu vas comprendre.
C'est curieux qu'il m’ait fallu venir à cette place infernale
avant de pouvoir contempler ton visage.
Je t'aime terriblement, et ça, je veux que tu le saches.
Il va y avoir un horrible combat.
Qui sait ?
Il se peut que j'arrive près de toi dès ce soir même.,,
Nous n'avons pas été des camarades jusqu'à ce jour
et je me demande, si tu m'attendras à la porte.
Tiens ! voilà que je pleure..
Moi, verser des larmes !
Ah ! si je t'avais connu plus tôt...
Allons, il me faut partir!
C'est drôle, depuis que je t'ai rencontré,
je n'ai plus peur de mourir.
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Par renal le 22 Juillet 2007 à 11:26
De passage
Un vieil homme sage,
Très vénéré par ceux qui l'approchaient
Et par ceux qui l'écoutaient, vivait très simplement
Dans une maison des plus rudimentaires.
Un certain jour, il reçut la visite
D’un homme très riche de la ville voisine.
Celui-ci fut très étonné de voir le sage logé
Dans une pièce meublée seulement
D’un tapis, d'une table basse et d'une paillasse.
L’homme riche s'exclama :
Mais où sont vos meubles !
L’homme sage répondit :
Mais où sont les vôtres ?
Voyons, maître... je suis en visite...
Je suis simplement de passage !
Moi aussi, voyez-vous !
Répondit le vieil homme en souriant.
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Par renal le 13 Juillet 2007 à 12:10
Chanter les couleurs de la terre
Je viens pour te chanter
les couleurs de la terre.
Soleils rouges.
Boutons d'or.
Hommes de paix.
Rivières d'argent.
Enfants heureux
au bout d'un champ.
Lilas du printemps.
Vertes prairies,
marais, bruyères.
Chemin de craies.
Papillons citrons.
Hommes tendres.
Hommes de mystères.
Bleu profond
du fond des mers.
Un clin d'il
et valsez les saisons !
Trois petits tours
et puis s'en vont !
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Par renal le 13 Juillet 2007 à 12:09
Avancer tout doucement
Avancer
tout doux, tout doux, tout doucement
et compter lentement sur le bout de ses doigts
sans crier, sans parler, sans murmurer...
Un!
S'approcher du papillon,
du tout petit oiseau
que la moindre brise l'ait trembler.
Deux !
Délacer ses chaussures,
Les enlever sans le moindre bruit.
Ce serait dommage de les voir s'envoler.
Trois!
S'arrêter.
Reculer.
Déjà bien trop près, ils sont inquiets.
Quatre !
S'asseoir sur la mousse, ne pas les effrayer.
Cinq!
S'en aller et revenir demain,
pour s'approcher un peu plus près.
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Par renal le 13 Juillet 2007 à 12:08
J'appartiens
J’appartiens
aux tourbillons des vents,
aux souffles des grands larges.
J'appartiens
aux rayons du soleil,
aux lueurs des étoiles.
J'appartiens
aux raideurs des rochers,
à l'infini du sable.
J'appartiens
aux flammes du couchant,
aux bleus froids des glaciers.
J'appartiens
aux profondeurs marines,
au vertige des pics.
J'appartiens
à la chaleur des flammes,
aux givres des hivers.
J'appartiens
à la puissance du ciel,
à l'espérance humaine.
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Par renal le 13 Juillet 2007 à 12:07
La connaissance
Ce qu'on sait le mieux
c'est d'abord, ce que l'on a deviné
par la seule intuition. ,
C'est ensuite, ce que l'on a appris
par l'expérience
des hommes
et des choses.
Puis,
ce que l'on a appris,
non dans les livres,
mais par les livres :
c'est-à-dire par les réflexions
qu'ils font naître en nous.
C'est enfin,
ce que l'on a appris
dans les livres
ou avec des maîtres.
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Par renal le 10 Juillet 2007 à 10:06
LA VIE ET PLUS ENCORE
Mon Dieu,
Tu m’as donné avec la vie,
Le goût d’entendre et d’écouter,
Le goût des mots et des histoires,
Le gout de regarder,
Le goût de la lumière et des couleurs,
Le goût de dire et de chanter
Le goût d’écrire.
Tu permets chaque jour à mes oreilles
De se pencher vers chaque son qui passe,
Vers chaque chant d’oiseau,
Vers chaque souffle du vent,
Vers chaque cri des hommes.
Tu permets chaque jour,
A ma bouche et à ma voix
De chanter les merveilles du monde,
Tes merveilles,
De se casser, de se tordre et de s’érailler
Pour crier les douleurs et les désespérances.
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Par renal le 10 Juillet 2007 à 10:05
A CONTRE TEMPS
Violette,
Colchiques
Un petit morceau de temps
Volé au jour,
A la pendule,
Entre deux sonneries de cloches,
Au printemps ou à l’automne.
Arrêter, le vent qui courait d’arbre en arbre,
De feuille en feuille,
D’herbe en herbe.
Arrêter, l’eau de la source
Et celle de la fontaine.
Figés les rayons du soleil
Entre les nuages.
Silence en dehors,
Même pour les oiseaux,
Même pour les abeilles.
Silence en dedans,
Même pour mes pensées.
Tout arrêter.
Voler deux, trois secondes.
Plonger dans l’univers
Pour un petit moment.
A contre temps.
(Inconnu)
</o:p>
<o:p> </o:p>
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Par renal le 10 Juillet 2007 à 10:04
DIS LA VIE !
Dis, la vie !
Il est grand temps de te réveiller.
Dis, la vie !
Il est grand temps de te lever.
Ne vois-tu pas que craque un petit peu partout ?
Ne vois-tu pas que les hommes deviennent fous ?
Même le vent n’arrive plus à souffler normalement.
Et tous ces enfants qui n’ont même plus le temps d’être des enfants.
Dépêche-toi, j’ai du mal à respirer !
Dépêche-toi je commence à étouffer !
Dépêche-toi, dépêche-toi !
On a tout mis sens dessus dessous.
On a fait n’importe quoi, n’importe où.
Même le ciel ne nous donne plus le même soleil.
Même l’amour a bien du mal à nous parler d’amour.
Quand l’envers se retrouve à l’endroit,
On ne sait plus très bien où l’on va.
Si ça continue,
Même mes yeux auront du mal à plonger dans tes yeux.
Et mes mots auront du mal à être des mots.
Dis, la vie !
Il est grand temps de te réveiller.
Dis, la vie !
Il est grand temps de te lever.
(ce "poème" est une paraphrase d'une chansons de Jean Humenry.)
Merci a Mimi pour l'info
2 commentaires -
Par renal le 8 Juillet 2007 à 21:39
PETITES BEATITUDES
Heureux ceux qui savent rire d’eux-mêmes :
Ils n’ont pas fini de s’amuser.
Heureux ceux qui savent distinguer une montagne d’une taupinière :
Il leur sera épargné bien des tracas.
Heureux ceux qui sont capables de se reposer, et de dormir sans chercher d’excuses :
Ils deviendront sages.
Heureux ceux qui savent se taire et écouter :
Ils en apprendront des choses nouvelles !
Heureux ceux qui sont assez intelligents pour ne pas se prendre au sérieux :
Ils seront appréciés de leur entourage.
Heureux êtes-vous si vous savez regarder sérieusement les petites choses et paisiblement les choses sérieuses :
Vous irez loin dans la vie.
Heureux êtes-vous si vous savez admirer un sourire et oublier une grimace :
Votre route sera ensoleillée.
Heureux êtes-vous si vous savez vous taire et sourire même lorsqu’on vous coupe la parole, lorsqu’on vous contredit ou qu’on vous marche sur les pieds :
L’Evangile commence à pénétrer votre cœur.
Heureux surtout vous qui savez reconnaître le Seigneur en tous ceux que vous rencontrerez :
Vous avez trouvé la vraie lumière,
Vous avez trouvé la véritable sagesse.
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Par renal le 8 Juillet 2007 à 21:37
Seigneur,
Pardonne si je te dérange, mais je viens de penser que tu pouvais avoir besoin d’un nouveau saint à tes côtés pour te louer.
Je suis venu te proposer de prendre cette place ; je pense que je pourrais très bien faire l’affaire.
Quoi qu’on pense, quoi qu’on dise,
Le monde déborde de gens parfaits.
Ceux qui t’offrent tant de sacrifices en les notant d’une petite croix sur un carnet.
Ceux qui se corrigent d’un défaut par semaine et qui atteignent la perfection au bout de quelques mois.
Ceux qui toute leur vie ne pensent qu’à faire le bien et qui cherchent la souffrance pour te montrer qu’ils sont courageux.
Moi, tu sais que j’ai horreur des sacrifices ; tout ce que je sais faire, c’est de corriger au mieux mon sale caractère.
Alors j’aime autant garder mes défauts ne m’en servant le moins possible.
D’ailleurs je pense que ceux qui sont parfaits ont tellement de qualités qu’ils n’ont plus de place dans leur cœur.
Je doute qu’ils parviennent un jour à être des saints et je ne suis même pas sûr qu’ils le souhaitent, de peur de porter atteinte à leur humilité.
Un saint, C’est un vase vide que tu remplis de ta grâce.
Si tu ne veux pas de moi comme vase, prend moi comme cruche.
Le jour où tu descendras dans ta cave pour y puiser le vin de ton amour, souviens-toi que, quelque part sur la terre une cruche est à ta disposition.
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